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Sybille traversa une vie déserte où les pavés luisaient d’humidité marqué par la éclaircissement de lune. L’atmosphère était étrange, à savoir si les étoiles en particulier retenaient leur raison. Elle savait que Voyance Olivier ne s’arrêtait pas à ce qu’elle pouvait piger ou palper. Il s’agissait d’un réseau invisible affiliant les âmes à la rappel du macrocosme, un coup subtile marquée dans la pierre et l’air. Ses Émotions se perdaient dans cette immensité, cherchant à compter ce qui lui échappait encore. Un frisson parcourut son échine lorsqu’elle s’approcha d’une fontaine abandonnée. L’eau stagnante reflétait le disque argenté de selênê, produisant une gravure d’abîme sans cesse. Elle plongea son regard dans cette surface liquide, cherchant un espoir, une éclaircissement. Voyance Olivier vivait dans tout étalage, dans chaque boucle provoquée par le vent. Elle sentit son cœur rapetisser, s’alignant avec le rythme silencieux astraux. 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